Delphine Désir, Responsable RH

Vivre sa formation de sophrologue à l’ISH

« Je ne mʼétais pas dis quand je serai grande jʼaurai envie dʼêtre sophrologue, mais en tout cas pour la deuxième partie de ma vie, cʼest vraiment quelque chose qui me tient beaucoup à cœur.. »

Cette formation m’a en tout cas conforté mon choix de changer dʼorientation professionnelle…

Alors je dirai que les compétences, à lʼissue de la formation, principalement, cʼest une compétence de praticienne, puisquʼon a découvert cette pratique pendant deux ans, avec toute sa richesse et le panel quʼil est possible dʼutiliser dans le cadre dʼun accompagnement, donc cʼest avant tout celle là, la pratique de la sophrologie.

Après jʼai envie aussi de dire, une capacité dʼécoute, puisque jʼai beaucoup appris ça pendant la formation, vraiment cette capacité d’écoute pour être centré sur la personne, puisquʼon se rend compte parfois, on a lʼimpression dʼécouter mais on écoute pas tout à fait. Donc cʼest aussi dʼaller écouter les silences, le corps, enfin vraiment dʼêtre dans cette écoute pleine je dirai de la personne qui est en face de nous.

Peut être aussi une capacité de centrage, donc ça cʼest vraiment pour moi, jʼai aussi appris ça, même si cʼest pas encore toujours le cas, mais on est toujours dans cet apprentissage là, donc cʼest cette capacité de centrage, pour être bien centré sur soi, et aussi être centré sur lʼautre.

Et puis ce que jʼai beaucoup développé, cʼest un peu cette position de méta, quʼon nous apprend aussi dans le cadre de la formation, ou à chaque fois on est un peu spectateur de ce qui est en train de se passer là et ça cʼest vraiment quelque chose que jʼai beaucoup développer pendant la formation et que jʼutilise maintenant au quotidien, et pas seulement quand je fais de la sophrologie.

Après ces compétences là, en toute objectivité, jʼavais pas du tout idée que jʼallais développer ça, avant de démarrer la formation, puisque moi jʼavais essayé un autre type de sophrologie, donc ça a plutôt été la découverte pendant ces deux années, et donc je ne peux pas dire que je mʼattendais à développer ces compétences là.

Ce qui est certain, cʼest que ça a en tout cas conforté mon choix de changer dʼorientation professionnelle et de me dire que jʼavais envie de faire ça demain. Donc parfois on se dit quand je serai grande jʼaurai envie de faire ça. Je ne mʼétais pas dis quand je serai grande jʼaurai envie dʼêtre sophrologue, mais en tout cas pour la deuxième partie de ma vie, cʼest vraiment quelque chose qui me tient beaucoup à coeur.

Aujourdʼhui je dirai que je me sens à ma juste place en ayant la conviction dʼavoir fait le bon choix et de pouvoir avoir cette liberté et ça cʼest quelque chose quʼon a beaucoup appris dans le cadre de la formation, ou il n ‘y a pas de bien pas de mal, mais en fait cʼest dʼavoir pu avoir cette possibilité de développer en fait une sophrologie qui me représente moi et qui me permet de venir développer ma couleur de sophrologue. Jʼai envie de dire que cʼest aussi ce message là quʼil est important de passer, cʼest que chacun a tout loisir de venir un peu réinventer sa sophrologie.

Témoignages de sophrologues formé.e.s à l’ISH

Crédit photo générique : Jessica Lewis provenant de Pexels